Texte original arabe النص العربي الأصلي
Trois attaques terroristes en Grande-Bretagne en trois mois.
Et les autorités britanniques s’attendent à d’autres attaques.
Ces autorités pataugent dans leurs déclarations: qui est responsable? L’islam ou l’islam politique?
Le Premier ministre britannique, Theresa May, a confirmé que la lutte contre le terrorisme ne pourra être remportée que par le biais d’opérations militaires, et qu’il faut mettre en place de nouvelles réglementations pour réduire la liberté d’expression des terroristes sur Internet https://goo.gl/WLoIOE.
Bien sûr, la Grande-Bretagne est responsable de ce qui se passe sur son territoire. Elle a accueilli les mouvements terroristes islamiques, notamment les Frères musulmans, Hizb ut-Tahrir et les salafistes. Sans oublier son soutien à l’opposition armée en Syrie et ailleurs. Et aujourd’hui, il existe des zones en Grande-Bretagne, y compris à Londres, où la police ne peut évoluer normalement à cause de la brutalité des islamistes, de leur contrôle de la rue et de leur mainmise sur les mosquées, où ils prient Dieu de rendre stériles les femmes de leurs ennemis, et orphelins leurs enfants, etc.
De plus, les musulmans de Grande-Bretagne, toutes tendances confondues, y compris le maire de Londres, Sadiq Khan, répètent 17 fois par jour:
«Guide-nous sur le chemin droit, non pas le chemin de ceux contre lesquels tu es en colère (les juifs), ni le chemin des égarés (les chrétiens)».
Je ne ferai pas mienne la déclaration de Trump dans un de ses tweets: «Au moins sept personnes ont été tuées et 48 blessées lors d’une attaque terroriste et le maire de Londres dit: ‹Ne vous inquiétez pas.›» Mais le fait demeure que les enseignements de l’islam qui cultivent la haine dans les cœurs des musulmans sont derrière les attaques terroristes, à Londres et ailleurs. Cela ne signifie certes pas que tous les musulmans sont des terroristes. Mais ce qui est arrivé montre que ces enseignements peuvent transformer des musulmans ordinaires en terroristes. Ces enseignement doivent donc être examinés.
Si un pays est frappé par une épidémie, les autorités imposent la quarantaine aux malades. La période de quarantaine dépend du temps nécessaire pour assurer la protection de la population et éviter la propagation de la maladie. C’est le cas lorsque la maladie affecte les humains. Si par contre l’épidémie touche des animaux, les autorités font abattre tous les animaux pouvant être infectés, comme c’est le cas avec la grippe aviaire. Bien sûr, vous ne pouvez pas prendre une telle mesure avec les humains. Mais vous pouvez empêcher le mouvement des personnes d’un pays infecté vers d’autres pays pour éviter la propagation de la maladie.
Le nombre des malades du terrorisme islamique en Grande-Bretagne, en France, en Allemagne, en Italie, en Belgique et ailleurs, serait d’au moins 100.000. Le contrôle d’un tel nombre de malades est devenu impossible. Le suivi d’un seul malade du terrorisme islamique en France nécessite 39 agents de police. Ajoutez à cela que 70% des détenus en France sont des musulmans, sans doute malades du terrorisme islamique… Leur rêve est de détruire la France une fois hors de prison. La France a tenté de mettre en place des centres pour traiter les malades du terrorisme islamique (dits centres de déradicalisation), mais toutes les tentatives ont échoué. Et l’infection de terrorisme islamique dans ce pays se propage comme une traînée de poudre. La France fait face actuellement à une menace de guerre civile, soit au transfert dans ses villes et ses rues de la guerre qui ravage la Syrie, l’Irak, la Libye, le Yémen, l’Égypte, la Somalie, l’Afghanistan et d’autres pays encore.
Aujourd’hui, le Parlement britannique se prépare à modifier la loi afin de pouvoir construire sa propre version de «Guantanamo Bay» pour les extrémistes et les prisonniers liés aux attaques terroristes et à la propagande extrémiste. La création de cette prison s’inscrit dans une stratégie plus large pour lutter contre le terrorisme dans les prisons afin de garantir la sécurité des autres prisonniers et de la population britannique https://goo.gl/CqRYv4. Le Premier ministre britannique, Theresa May, a annoncé être prête à modifier les lois relatives à la défense des droits de l’homme si celles-ci empêchent les autorités de lutter contre le terrorisme https://goo.gl/U5yoM3.
La question qui se pose est de savoir combien de malades du terrorisme islamique peuvent être enfermés dans une telle prison? Et comment peut-on empêcher la propagation de la maladie du terrorisme islamique parmi la communauté musulmane , dont fait partie le maire de Londres, Sadiq Khan, sans s’attaquer aux enseignements de l’islam, qui sont la cause de la maladie? Est-il possible d’éliminer la maladie du terrorisme islamique tout en maintenant dans toutes les mosquées et tous les foyers musulmans la présence de son virus, à savoir le Coran? Bien plus, le Coran est répandu dans ces mêmes prisons où se trouvent ces malades. Tant que les autorités britanniques et occidentales n’auront pas répondu à cette question, toutes les mesures qu’elles prendront contre les malades du terrorisme islamique resteront vaines.
Que faire alors? Je propose ce qui suit en ce qui concerne le Coran:
1) Empêcher la diffusion du Coran sous sa forme actuelle, dans tous les pays occidentaux, et imposer une édition du Coran par ordre chronologique séparant le Coran mecquois du Coran médinois.
2) Placer un avertissement au début du Coran par ordre chronologique signalant le danger du Coran médinois et le fait qu’il viole les droits de l’homme, comme je l’ai fait dans mon édition arabe et mes traductions du Coran. Voilà l’avertissement que je propose:
Comme les autres livres sacrés, le Coran comporte directement, ou indirectement par le biais de la sunnah de Mahomet que les musulmans doivent suivre, des normes contraires aux droits de l’homme reconnus aujourd’hui dans les documents internationaux. Nous invitons donc les lecteurs à le lire avec un esprit critique et à le placer dans son contexte historique, à savoir le VIIe siècle. Parmi les normes qui violent les droits de l’homme, qui inspirent les lois des pays arabes et musulmans, et que les mouvements islamistes voudraient appliquer, en tout ou en partie, nous signalons à titre d’exemples:
– L’inégalité entre les hommes et les femmes dans le mariage, le divorce, l’héritage, le témoignage, les sanctions et l’emploi, le mariage de filles impubères, et la circoncision masculine et féminine pratiquée sur des enfants.
– L’inégalité entre musulmans et non-musulmans dans le mariage, le divorce, l’héritage, le témoignage, les sanctions et l’emploi.
– La non-reconnaissance de la liberté religieuse, en particulier la liberté de changer de religion.
– L’exhortation à combattre les non-musulmans, à occuper leurs pays, à imposer aux non-musulmans le paiement d’un tribut (jizya) et à tuer ceux qui ne suivent pas les religions monothéistes.
– L’esclavage, la capture des ennemis et l’appropriation de leurs femmes.
– Les sanctions cruelles comme la mise à mort de l’apostat (qui abandonne l’islam), la lapidation de l’adultère, l’amputation des mains du voleur, la crucifixion, la flagellation et la loi du talion (œil pour œil, dent pour dent).
– La destruction des statues, des peintures et des instruments de musique, et l’interdiction des arts.
– La maltraitance des animaux et l’abattage des chiens de compagnie.
En ce qui concerne les malades du terrorisme islamique, je propose:
1) Le retrait de la nationalité et du permis de résidence du malade et des membres de sa famille et leur renvoi dans une zone située hors d’Europe et que l’Occident doit créer. Je suggère à cet effet l’occupation de la moitié du territoire de l’Arabie Saoudite et la confiscation de la moitié de ses ressources pétrolières afin d’abriter ces malades.
2) L’expulsion de tous les prisonniers musulmans et des membres de leurs familles vers la zone susmentionnée.
3) L’interdiction de la construction de mosquées et la création de salles publiques ouvertes à tous dans le but d’accomplir la prière du vendredi en contrôlant strictement les prières et les sermons.
4) L’imposition d’un engagement à tout musulman qui se trouve dans le pays, ou y entre, à respecter les lois du pays sous peine d’expulsion vers la zone susmentionnée avec tous les membres de sa famille.
Dr Sami Aldeeb, Professeur des universités
Directeur du Centre de droit arabe et musulman
Traducteur du Coran en français et en anglais, et auteur de nombreux ouvrages
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